Voilà.je tape ici.
Sur ce site, exposé à toutes ame, et à tout sens moral, mes rêves...
ce n'est pas d'aujourd'hui..
Alors je vais finir par ceci.

aujourd'hui, je tape mes rêves les plus fort.Ceux qui compte le plus...les plus lourds; Ceux qui pesent, mais que je garde néemmoins.Aprés tout ce sont des rêves, ils sont trop important pour que je les oublis ou que j'essai...

je rêves de cette maison plus trés droite (comme mes idées tiens!).délabrée.
La porte est "plus ou moins" condamnée par les herbes hautes à ses pieds.
je me voit les enlever avec délicatesse, comme pleins d'âme dont il faut que que je prene soin malgré le fait qu'elles me genes.

je rentre.
une odeur de poussiere et d'humidité.Ca te plairait.

j'éternue.
et souri.

Mes yeux se posent sur ce majestieux escalier tout en bois.Il faut dejà, à peine l'avoir connu, que je me face à l'idée de devoir m'en séparer.

Je ne veux pas.Mais il est bouffé par les vers.Ca ne se voit pas sur le coup, mais je fait désormé une avec cette maison.ça ne ce voit pas donc, mais je le sais.et ça m'atriste.

je caresse la poussiere qui à changée la couleur du bois de la rampe courbe.ça laisse des traces circulaires.
sans quitté la rampe du bout des doigts je monte les marches qui craquent.Une par une.Comme un bonjour, je n'en loupe aucune.

j'arrive au premeir étage.Il y a un trou dans le plancher.
Si je passe à travers ça ne sera que destin.Qui n'a pas rêver de mourir dans un rêve?Peut être que ça va m'arriver...

je m'avance téméraire.
ça craque.un bruit assez étourdissant...
je me panche au dessus du trou, ça craque plus fort.

je recule d'un coup!

Vraiment, ce serai bête de mourir dans un rêve que l'on a pas fini en fait...c'est idiot ce fantasme enfantin et puéril.je veux vivre mon envie jusqu'au bout.

je contourne le trou, mon talon claque contre les lattes sombres du plancher.

je lui en veux.A croire que j'ai l'esprit critique et brumeux.j'ai l'impression que le bruit de mon talon agresse toute la maison.Cette si vieille maison.je la reveille de longues années à dormir, autant faire ça en douceur.

je glisse mon doigt entre le mon pied et le talon de la chassure et fait glisser les talons criards sur le sol.

Mon pied nu se pose doucement.à plat.

Le plancher est chaud.Encore ensomeillé.

un sourire tendre se dessine au coin de mes levres, je le caresse.Que j'aime déja cet endroit.

Une grande porte s'impose devant moi.

ma main s'appui sur la poignée, je m'attend à une résistance justifiée.Pourtant la grande porte s'entrouve sans difficultée devant moi.

le sourire s'éternise sur mes levres...

je pénetre dans un endroit encore plus sombre que l'entrée,l'escalier...

un mince filet de lumiere.
tout au fond.

je me dirige vers la fenetre, me cogne à certaines choses.Fait tombé un objet.un bruit de verre brisé.

Ma main effleure un lourd rideau de velour.j'hesite.

Et voilà, il falait que ça arrive.hesiter.
Tant de travail.Tant de choses...Tant d'argent...
Mais mon coeur reprend le dessus, et je tire brutalement sur le lourd rideau.

la lumiere se deverse dans la piece comme l'eau claire et fraiche, sur un corps ensomeillé.

voilà.

j'ai reveillé la maison de mes rêves.
Je lui ai ouvert les yeux.Je l'ai faite renaitre.

Je me sens comme une enfant qui a l'impression d'avoir fait une bétise en coupant les belles fleurs du jardin sans permission... pour faire un beau bouquet...

Je me vois.Seule.Au milieu de ce grand salon.Les peintures des murs sont défraichies.Les quelques meubles datent du début du siecle.Ils ne sont même pas recouvert par ces eternel draps blancs, comme dans les films.rien.Tout est nu, et n'a plus aucun sens pour la jeune femme que je suis.

Je me sens toute chamboulée par ce que j'ai fait.Peut etre aurais je du t'attendre...

Tu m'as dis que tu arriverai en retard.Que tu aurai aimé découvrir en même temps que moi...Mais que tu arriverai trop tard...

Qu'il ne fallait pas que je t'attende.Tu avais tord.
Sans toi, mes rêves m'échappent...

Puisque si on n'y réfléchi se ne sont pas mes rêves, mais les notres.

Je ramasse les morceaux de verres.Ils sont gros.
je les rassemble.

Avant que je ne le brise,les morceaux de verres formaient un ange au ailes déployées.
Cette vision me redonne courage et envies d'avenir.

je regarde autour de moi.Mieux.

je vois les tapisseries flash.
Je veux de la couleur d'un coup.Sans perdre pour autant le côté dernier siecle.les meme meubles, mais plus vivants.

un tableau de mirò à droite du sofa vert amende.

Et peuis merde, voilà, que je m'emballe alors que tu n'est pas là, tu n'aime peut etre pas mirò aprés tout...

moi non plus pour tout avouer.

moi tout ce que j'aime c'est ton rire à la fenetre du patio.

C'est nos rêves mélangés, et la couleur des murs refait...

moi tout ce que j'aime ...C'est nous

j'espere que tu te souviendra de ce rêve qu'on a fait...un jour en marchant dans une ville, maintenant bien éloignée de nos pensées...ou peut être pas justement...chaqu'une sais à sa maniere...