VOus me voyez?
Je suis là, je vous fait signe de la main...
Mais non.Aucune réponses.
je vous voit pourtant, mais vous non.
Comment cela se fait il, j'aimerai le comprendre...

J'ai à chaque fois l'impression que quelque chose change, et pourtant, une fois mes espoirs fondés, et en pleine attente, je me rend compte que je me suis encore emballée trop vite.

Ca me grise, et me rend froide.Monotomne.Ailleurs.

Je cherche indefiniment les personnes qui pourraient me rattacher à ce que je suis.

Je ne sais pas ce que je suis.

Cette fille pleine de vie? Toujours à sourir, rire, consoler les âmes en peine, au point d'en oublier la sienne,Celle qui a foie en son avenir, qui voit le soleil se lever en se disant, que c'est magnifique de vivre une journée qui va encore nous faire avancer... cette fille pleine de coeur et de comprehention, pleine de compromis pour etre ce qu'on appelle:Une personne BIEN.

A moins que je ne sois que le genre de fille, plus gamine qu'adulte malgré des 18 ans encrés.Le genre à être grossiere en public pour choquer,
(les femme tirées à quatres épingles ou les "Marie Chantale") et à s'en régaler.A sortir des conneries à la longue histoire d'amuser la galerie, de toujours faire le clown, Drôle, mais mauvaise comique,la fille nunuche parfois qui, ne se prenant pas au sérieux, ne se fait plus prendre au sérieux par les autres, et ne sais jamais pourquoi...la belette quoi...

Ou encore la petite renfermée, celle qui pleure toujours en son fort intérieur en pensant à tout le mal qu'elle supporte, celle qui sais qu'elle aura un cancer de la langue dans 40 ans, mais qui n'arrete pas de fumer pour autant puisque de toute façon...
Celle qui se sent toujours agressée au moindre mot dit, et qui agresse en retour.Celle qui se pert dans le labyrhinte de ses noires pensées...la presque suicidaire...

Ces trois résumés de personnes, sont à la suite ce que je suis moi.
Une aveugle d'elle même.

De ce fait, je ne sais pas où aller pour bien réussir ma vie.

Question plus posée qu'on ne le crois...
Par des personnes que l'on ne croirais jamais...

Je rêve.Fort.A un avenir au soleil.
Pas le soleil de l'argent, le vrai soleil, celui de Sienne, de l'Italie...
Ma vie là bas, plus que jamais.

Et pourtant, j'ai cette barriere.Qui me freine, comme on ne l'a jamais fait avant.
Et j'ai peur, peur de rêver d'ailes blanches... et de tomber du ciel.

De courir aprés mon bonheur, le toucher...presque.
Et tomber.

Tellement d'espoirs, tellement de rêves, et si peut de temps pour les réaliser...Je me sens si vieille, et je suis si jeune...

la nostalgie du futur est t'elle un défault?