Et s'en aller (sous la pluie)
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Personne ne peut plus l'ignorer à ce jour.Le 23 juin, 2005, un déluge s'est abattut sur Paris.
C'était splendide.
Ceux qui on eu leurs chaussures trempées, leurs tee-shirt, et qui on attendut 21h00 pour pouvoir reprendre le métro.je comprend qu'il ai moins aprécié que moi
Bien que j'ai été trempée jusqu'aux os également.j'ai vécu un moment de pur extase.
j'étais encore en pleins boulot dans l'atelier, lorsqu'en regardant dehors:
"Tiens, il est déja 10h00 du soir? Il fait nuit!"
En fait, il était 17h15, heure de partir, et il faisait aussi sombre que dans un four (oulala, l'expréssion du tonnerre! -mdr-)
Et puis, ce bruit, tonitruant, à n'en rien comprendre!
Il pleuvait comme vaches qui pisse, il faisait nuit, il était 17h20 et j'avais rien à me mettre pour me couvrir.
M'en fou que jme suis dis.Chuis une guerriere qui adooore la pluie, j'y vais .Et faute de tant pis.Tant mieux!
Aurevoir, tout le monde, je sors.
je descends les escaliers.
Ouvre la grande porte noire, et là.Horreur.Sous le ptit tun el de l'entrée de la maison G., une marre énorme.
le genre de marre dans lequel pêuvent se déveloper des brochets.par centaines.
Et sous le tunnels, pleins de gens.Visiblemetn mieux dehorsque dans leurs bureux.(ouiii, mais c'est la fin de la journée...)
Moi j'avais un,dos,tres à pas louper, alors ni une ni deux, je me remonte les escaliers:
recoucou tout le monde!
Je demande à mon chef de m'ouvrir une porte en fond de cour, pour passer dans les bureux, et ressortir direct sous le tunnel,là où se réunissaient tout les fuyeurs de bureaux.
Il accepte, on sans me présiser:
"Mais je vais etre trempé!"
Sans blague.
On redescend on passe par la manutension.
On croise un type qui avait dut sauter dans sa baignoire tout habillé.ya de ces taré j'vous jure....
on sort, il nous faut à tout asser 5 secondes pour paser d'une porte à une autre en traversant la cour.
On rentre dans les bureaux.
On diré que j'ai sauté dans ma baignoire toute habillée...Ca me fait vaguement pensé à quelqu'un...
Chuis tarée des fois...
je fais le tour des bureaux, les cheveux dégoulinant, le maquillage idem.C'est d'un sexy tout ça.
Je me retrouve sous le ptit tunnel.
Je regarde à droite, à gauche...Que des gens déconfit, tout malheureux d'attendre.Je veux aps etre comme eux.Moi chuis le genre qui se mouille.
:p
Hop, je sors.
Ni une ni deux, je saute sur le trotoir.Putain ça fait mal tellement c'est fort, j'y voi pas à un metre.
je cours.
Merde, une grosse marre!
je pousse un ptit cris de frayeur (mais baskets hé)
Ptit saut à gauche.
Je cour encore.
Merde, une deuxieme marre!
ptit cris
et saut à droite.
J'entend un rire.
Merde, se foutrait on de ma gueule?
Effectivement
une fille et son copain me regarde et son mort de rie.j'aimerai vous y voir vous qui êtes abrité...
Je decide alors d'arreter de me taper là honte, et marche (pardon, cours) normalement.
mais basket s'enfonce dnas de l'eau juskqu'aux chevilles.
C'est la fête.
J'arrive dans le métro, les couloirs sont bondés, tout le monde est trempés.
C'est assez marrant.
Je monte dans le métro.
"nous vous recomendons de fermer les fenetres du côté droit."
personnes ne bouge.
Bon, j'y vais, et tant qu'à faire, je ferme du côté gauche , on n'est jamais trop prufent hein?!
le métron avance, et d'un coup, un pshit énorme, je reçoit quelques goutes sur moi
C'est quoi se bordel?!
Tout le monde se regarde, à côté de moi, un homme avec une chemise blanche à l'air tout malheureux.
Je regarde de plus rpés.Il est trempé, et sa chemise n'est plus blanche, mais noire.
les métro étant lavé tout les 36 du 14eme mois, lorsque ça pleut, la crasse passe entre le toit et les portes.C'est merveilleux.
Un jeune à la tete toute mouchetée de noire.C'est trop marrant.
Bref, lorsque je suis arrivé chez moi il ne pleuvait plus.c'était dommage.
2 jours plus tard, il, a replu.
Cette fois j'était dans la chambre, ert j'ai tendu mes bras pour pouvoir toucher les goutes.
j'aime vraiment la pluie.
Toute cette pluie, c'est bête à dire, évitez de rire, svp, m'a fait pensé à Jean de Florette qui attendais qu'il pleuve tout le temps.
9a m'a fait de la peine, que lui attende la pluie, alors que nous on avait l'orage et les gouttes.
je sais
Jean De Florette n'existe pas.
Mais j'aime trouver des liens dans ma vie qui me rammenne à mes souvenirs d'enfance.
C'est comme ça.
L0 je me dis que la pluie va bien avec mon etat d'esprit.
Brouillé, humide.
Et beau à la froid.
Le concert de saez m'a transporté.
Je ne pourrais pas en parler en details.
parceque ces souvenirs là, je ne veux les grader que pour moi.
De toute façon.Ca ne donnerai rien.
Il faut le voir pour savoir quoi en dire,et se faire une idée, de l'ambiance.Du ressentit.
Cette homme, Ce n'est pas qu'une personne faite de chair et de sang.C'est plus que ça...C'est une sensation à lui tout seul.
Et s'en aller...
La boucle étant bouclée...
C'était splendide.
Ceux qui on eu leurs chaussures trempées, leurs tee-shirt, et qui on attendut 21h00 pour pouvoir reprendre le métro.je comprend qu'il ai moins aprécié que moi
Bien que j'ai été trempée jusqu'aux os également.j'ai vécu un moment de pur extase.
j'étais encore en pleins boulot dans l'atelier, lorsqu'en regardant dehors:
"Tiens, il est déja 10h00 du soir? Il fait nuit!"
En fait, il était 17h15, heure de partir, et il faisait aussi sombre que dans un four (oulala, l'expréssion du tonnerre! -mdr-)
Et puis, ce bruit, tonitruant, à n'en rien comprendre!
Il pleuvait comme vaches qui pisse, il faisait nuit, il était 17h20 et j'avais rien à me mettre pour me couvrir.
M'en fou que jme suis dis.Chuis une guerriere qui adooore la pluie, j'y vais .Et faute de tant pis.Tant mieux!
Aurevoir, tout le monde, je sors.
je descends les escaliers.
Ouvre la grande porte noire, et là.Horreur.Sous le ptit tun el de l'entrée de la maison G., une marre énorme.
le genre de marre dans lequel pêuvent se déveloper des brochets.par centaines.
Et sous le tunnels, pleins de gens.Visiblemetn mieux dehorsque dans leurs bureux.(ouiii, mais c'est la fin de la journée...)
Moi j'avais un,dos,tres à pas louper, alors ni une ni deux, je me remonte les escaliers:
recoucou tout le monde!
Je demande à mon chef de m'ouvrir une porte en fond de cour, pour passer dans les bureux, et ressortir direct sous le tunnel,là où se réunissaient tout les fuyeurs de bureaux.
Il accepte, on sans me présiser:
"Mais je vais etre trempé!"
Sans blague.
On redescend on passe par la manutension.
On croise un type qui avait dut sauter dans sa baignoire tout habillé.ya de ces taré j'vous jure....
on sort, il nous faut à tout asser 5 secondes pour paser d'une porte à une autre en traversant la cour.
On rentre dans les bureaux.
On diré que j'ai sauté dans ma baignoire toute habillée...Ca me fait vaguement pensé à quelqu'un...
Chuis tarée des fois...
je fais le tour des bureaux, les cheveux dégoulinant, le maquillage idem.C'est d'un sexy tout ça.
Je me retrouve sous le ptit tunnel.
Je regarde à droite, à gauche...Que des gens déconfit, tout malheureux d'attendre.Je veux aps etre comme eux.Moi chuis le genre qui se mouille.
:p
Hop, je sors.
Ni une ni deux, je saute sur le trotoir.Putain ça fait mal tellement c'est fort, j'y voi pas à un metre.
je cours.
Merde, une grosse marre!
je pousse un ptit cris de frayeur (mais baskets hé)
Ptit saut à gauche.
Je cour encore.
Merde, une deuxieme marre!
ptit cris
et saut à droite.
J'entend un rire.
Merde, se foutrait on de ma gueule?
Effectivement
une fille et son copain me regarde et son mort de rie.j'aimerai vous y voir vous qui êtes abrité...
Je decide alors d'arreter de me taper là honte, et marche (pardon, cours) normalement.
mais basket s'enfonce dnas de l'eau juskqu'aux chevilles.
C'est la fête.
J'arrive dans le métro, les couloirs sont bondés, tout le monde est trempés.
C'est assez marrant.
Je monte dans le métro.
"nous vous recomendons de fermer les fenetres du côté droit."
personnes ne bouge.
Bon, j'y vais, et tant qu'à faire, je ferme du côté gauche , on n'est jamais trop prufent hein?!
le métron avance, et d'un coup, un pshit énorme, je reçoit quelques goutes sur moi
C'est quoi se bordel?!
Tout le monde se regarde, à côté de moi, un homme avec une chemise blanche à l'air tout malheureux.
Je regarde de plus rpés.Il est trempé, et sa chemise n'est plus blanche, mais noire.
les métro étant lavé tout les 36 du 14eme mois, lorsque ça pleut, la crasse passe entre le toit et les portes.C'est merveilleux.
Un jeune à la tete toute mouchetée de noire.C'est trop marrant.
Bref, lorsque je suis arrivé chez moi il ne pleuvait plus.c'était dommage.
2 jours plus tard, il, a replu.
Cette fois j'était dans la chambre, ert j'ai tendu mes bras pour pouvoir toucher les goutes.
j'aime vraiment la pluie.
Toute cette pluie, c'est bête à dire, évitez de rire, svp, m'a fait pensé à Jean de Florette qui attendais qu'il pleuve tout le temps.
9a m'a fait de la peine, que lui attende la pluie, alors que nous on avait l'orage et les gouttes.
je sais
Jean De Florette n'existe pas.
Mais j'aime trouver des liens dans ma vie qui me rammenne à mes souvenirs d'enfance.
C'est comme ça.
L0 je me dis que la pluie va bien avec mon etat d'esprit.
Brouillé, humide.
Et beau à la froid.
Le concert de saez m'a transporté.
Je ne pourrais pas en parler en details.
parceque ces souvenirs là, je ne veux les grader que pour moi.
De toute façon.Ca ne donnerai rien.
Il faut le voir pour savoir quoi en dire,et se faire une idée, de l'ambiance.Du ressentit.
Cette homme, Ce n'est pas qu'une personne faite de chair et de sang.C'est plus que ça...C'est une sensation à lui tout seul.
Et s'en aller...
La boucle étant bouclée...
Ecrit par medusa, le Dimanche 26 Juin 2005, 13:45 dans la rubrique Actualités.